Biospectal a participé à un panel organisé par le Centre suisse d'électronique et de microtechnique (CSEM) le 20 février à Cambridge, Massachusetts, pour dialoguer sur les perspectives suisses et américaines en matière d'innovation dans le domaine de la santé numérique. Le CSEM a ouvert la soirée en partageant ses innovations les plus récentes dans le domaine des technologies liées à la santé, notamment en ce qui concerne les capteurs de santé et les approches non invasives de la biodétection. Eliott Jones de Biospectal a continué à présenter sa technologie d'algorithme optique non invasif qu'il est en train de développer pour permettre la surveillance de la tension artérielle via le bout du doigt sur une caméra de smartphone.
"La soirée a été très stimulante et a donné lieu à de nombreuses discussions sur le traitement des données, la manière dont les patients pourront gérer plus efficacement leurs informations de santé grâce aux nouvelles technologies, ainsi que sur la possibilité pour les utilisateurs finaux de participer au diagnostic et au traitement des maladies", a-t-il observé. "L'environnement de Cambridge et de Boston est très dynamique sur le plan universitaire, et l'auditoire était composé d'un large éventail de spécialistes de la médecine, de la santé publique, de l'économie, de l'ingénierie et d'autres domaines. Les questions étaient stimulantes et perspicaces, et surtout elles portaient sur certaines des réalités entourant les aspects positifs mais aussi les risques de la santé numérique, en particulier en ce qui concerne la gestion et la sécurité des données." Pour en savoir plus sur l'événement Swissnex, voir : https://www.swissnexboston.org/event/innovation-in-digital-health-swiss-and-us-perspectives/
Le jeudi soir suivant, l'équipe du CSEM et de Biospectal a descendu l'avenue Massachusetts jusqu'au MIT pour faire une nouvelle présentation au Venture Cafe, l'espace de rencontre et de collaboration du MIT pour les soirées internationales de présentation. Là, ils ont poursuivi la discussion avec un autre groupe brillant et diversifié sur la virtualisation du brassard de tension artérielle dans le smartphone. L'accent a notamment été mis sur les implications d'une distribution à grande échelle de tensiomètres par l'intermédiaire des smartphones existants - et sur ce que cela signifie pour la santé mondiale. "Une fois de plus, nous sommes ravis de partager notre vision qui consiste à rendre le contrôle et la gestion de l'hypertension accessibles au moyen d'appareils que les gens ont déjà dans leur poche, même dans les pays à faibles revenus", a-t-il expliqué. "Ces données sont ensuite exploitées en les reliant aux personnes et aux ressources qui permettent de traiter la maladie et d'améliorer la qualité de vie.